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Qui sommes nous ?

Depuis 2009, l'action "Ouni Pestiziden" s'engage pour l'abandon des pesticides dans l'espace public, dans les ménages privés et dans l'agriculture. La majeure partie de notre travail consiste à sensibiliser et apporter un soutien technique aux autorités publiques et aux responsables politiques, aux bureaux d'études, aux entreprises de jardinage et d'entretien des paysages, aux citoyens et aux autres acteurs qui sont en contact direct ou indirect avec les pesticides. La campagne s'engage pour une meilleure qualité de vie et pour la préservation de la biodiversité. Parmi les partenaires et soutiens de la campagne figurent aussi bien des organisations de protection de la nature et de l'environnement que des entreprises du secteur privé, des administrations publiques, des ministères et des parcs naturels. Vous trouverez ici un bref aperçu de l'histoire de la campagne et de ses principales étapes : 

2007

2008

2010

2011

2012

2013

2014

2016

2015

2017

Premières analyses de l'utilisation de pesticides dans les communes par la Maison de l’Eau de l’Attert et élaboration de dépliants et d'une ébauche du logo actuel.

Le projet initial se transforme en campagne et les premières rencontres communes ont lieu entre la Maison de l'eau, Natur&ëmwelt, la SDK, SICONA et l’EBL. Certains acteurs organisent des séminaires ou des ateliers.

L'année de la biodiversité. Cette accroche est utilisée pour faire connaître la campagne au niveau national. Un programme d'action complet est mis sur pied et la campagne participe pour la première fois à la "Semaine sans pesticides". Le logo est revu et constitue aujourd'hui encore l'emblème officiel de la campagne. Une première version de la déclaration "Communes et écoles sans pesticides ni herbicides" est envoyée aux communes par l'action NOGM (Luxembourg sans OGM - coordonnée par Greenpeace).

L'EBL endosse officiellement le rôle de coordinateur. Les stations biologiques sont intégrées à la campagne. Le musée de la nature et le partenariat Syr rejoignent également la campagne. Les premiers contacts sont établis avec le Bund für Umwelt und Naturschutz Deutschland e.V. (BUND) et avec l'OAI. Le "projet de semences de fleurs sauvages" devient partie intégrante de la campagne.

 

 Etat de l'utilisation des pesticides dans les communes fin 2011 :

  • 2 communes avec 100% de renoncement

  • 20 communes avec réduction et déclaration d'intention politique

  • 19 communes avec une légère réduction sans délibération politique

La campagne se dote d'un cadre plus formel avec un accord de partenariat.

Les thèmes "néonicotinoïdes" et "pesticides systémiques" sont abordés par la campagne et font l'objet de diverses actions afin de sensibiliser les gens et surtout les agriculteurs. La campagne envoie un représentant dans différents comités de NOGM, Meng Agriculture et SEED. Une lettre est envoyée au ministre, concernant la directive européenne 2009/128/CE avec la proposition de collaborer au plan d'action national sur les pesticides.

 

Situation de l'utilisation des pesticides dans les communes fin 2012 :

  • 11 communes avec 100% de renoncement

  • 19 communes avec réduction et déclaration d'intention politique

  • 33 communes avec une légère réduction sans délibération politique

L'accord de partenariat entre en vigueur. Publication de fiches techniques avec des "bonnes pratiques" pour les communes. Grande campagne de communication tout au long de l'année. Elaboration d'une proposition de projet de loi sur l'utilisation des pesticides dans les espaces publics.

Etat de l'utilisation des pesticides dans les communes fin 2013 :

  • 17 communes avec renoncement à 100%.

  • 24 communes avec réduction et déclaration d'intention politique

  • 28 communes avec une légère réduction sans délibération politique

Introduction de 4 groupes de travail internes : "Relations publiques", "Législation", "Semences régionales" et "Préservation des surfaces". En mars 2014, l'accord de partenariat est signé par les partenaires suivants : EBL, MDDI, AGE, ANF, natur&ëmwelt, Maison de l’Eau de l’Attert, PN Öewersauer, PN Our, SDK, Ligue CTF, SICONA Centre, SICONA Ouest, FUAL. 1er grand « Demo-Day » avec des conférences d'experts et des démonstrations et expositions par des fabricants de matériel pour un entretien des surfaces sans pesticides.

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Elaboration d'une grande exposition sur le thème des pesticides.

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Etat de l'utilisation des pesticides dans les communes fin 2014 :

  • 24 communes avec renoncement à 100%.

  • 21 communes avec réduction et déclaration d'intention politique

  • 27 communes avec une légère réduction sans délibération politique

La campagne obtient une mention au Prix de la Nature 2014 !  Lancement du projet "Plantes ornementales sans pesticides" par le groupe de travail ‘Semences Régio’. Séminaire "Alternatives à l'utilisation des pesticides" à l'INAP.

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Etat de l'utilisation des pesticides dans les communes fin 2015 :

  • 42 communes avec renoncement à 100%.

  • 22 communes avec réduction et déclaration d'intention politique

  • 22 communes avec une légère réduction sans délibération politique

La nouvelle loi sur les produits phytosanitaires entre en vigueur et interdit l'utilisation de pesticides sur les espaces publics à partir du 1er janvier 2016. C’est l’un des mérites et un grand succès de la campagne. L'accent est désormais mis sur le soutien aux communes pour le passage à des méthodes alternatives, avec entre autres l'organisation du 2e grand « Demo-Day » sur les méthodes alternatives d'entretien des surfaces. Tour des communes avec de nombreuses présentations sur le thème "Travailler sans pesticides". Accord de partenariat : SEED rejoint la campagne. Un modèle de délibération pour les communes est élaboré sur le thème "Fleurs sans pesticides". Coopération avec l'INDR - intégration de critères de la campagne dans le label RSE.

Poursuite de la tournée de sensibilisation dans les communes. Lettre au ministre de l'Agriculture Fernand Etgen avant le vote au niveau européen sur un report de l'autorisation du glyphosate et prise de position publique après l'échec du vote. Coopération avec BeeTogether pour la protection des insectes pollinisateurs.

2018

Stand d'information lors de diverses fêtes et événements et poursuite de la tournée dans les communes. Premiers tests au laboratoire de fleurs sans pesticides. Accord de partenariat : Le Syndicat des Eaux du Sud (SES) et LTA Ettelbruck rejoignent la campagne.

2019

Publication d'un guide pratique pour les communes "Aménagement d'espaces verts proches de l'état naturel en milieu urbain" et d'un "Mode d'emploi des prairies de fleurs sauvages". Lancement de mélanges de graines de fleurs sauvages avec des espèces adaptées pour le Luxembourg et publication de la brochure "Plantes problématiques dans les prairies de fleurs sauvages". Accord de partenariat : L'AEV adhère à la campagne.

2020

Lettre à la ministre concernant la désinfection des espaces publics et du mobilier urbain dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Travail de relations publiques sur la désinfection, les bactéricides, les virucides et autres biocides.

2021

10ème édition de la "Semaine sans pesticides" au Luxembourg avec publication de tutoriels individuels sur le travail sans pesticides. Réédition de la série de tests du projet "fleurs sans pesticides" dans les communes.

2022

Réorganisation de la campagne. Relance des plénières en grand groupe avec de nouveaux acteurs. Création de 2 grands groupes de travail "jardin proche de la nature" et "production de plantes vivaces sans pesticides". Travail de relations publiques.

2023

Regelmässiges Treffen der beiden Arbeitsgruppen „naturnaher Garten“ und „pestizidfreie Staudenproduktion“. Vereinzelte Öffentlichkeitsarbeit.

2024

Regelmässiges Treffen der beiden Arbeitsgruppen „naturnaher Garten“ und „pestizidfreie Staudenproduktion“. Vereinzelte Öffentlichkeitsarbeit.

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Die Kampagne verfasst einen offenen Brief an die Regierung wo sie die Entscheidung der Zulassung des Wirkstoffes Glyphosat für weitere 10 Jahre in der europäischen Union bedauert, und die Luxemburgische Regierung auffordert keine Mühen zu scheuen, um den Einsatz von Glyphosat und anderen synthetischen Pestiziden so weit wie möglich einzuschränken.

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